Paul Kalinine :
« C’est avec les plus âpres pages des “Hauts de Hurlevent” que “Les Envoûtés” voisinent par leur farouche grandeur, et avec Le “Manuscrit trouvé à Saragosse”, par leur inlassable et aérienne imagination.
Paul Kalinine, préface des Envoûtés, éditions Stock, 1977 |
Image de Wiesław Wałkuski.
Constantin Jelenski :
« Les “Envoûtés” tissent, comme en dépit de l’auteur, une autre trame, faite de correspondances et de signes, d’intuitions à la limite du physique et du psychique. Nous y trouvons déjà ce couple de jeunes dont la grâce désamorce la monstruosité (car la grâce et le crime ont là partie liée) et qui habitera désormais l’œuvre de Gombrowicz. Oui, tous les ingrédients de son œuvre sont là, encore épars. Il lui suffira de les faire jouer dans une mécanique savante pour arriver à construire ces « machines infernales » que Sartre a saluées dans les grands romans ultérieurs.
Constantin Jelenski, dans La Quinzaine Littéraire, 1er avril 1978 |
Le roman "Les Envoûtés" adapté au théâtre par Adriano Shaplin pour la compagnie Pig Iron’s de Philadelphie sous le titre "Hell Meets Henry Halfway".